Théâtre automatique mobile

La description complexe du mécanisme du théâtre automatique à base mobile est décrit dans le traité des Automates d’Héron d’Alexandrie. Aujourd’hui, nous pouvons retrouver ce texte dans le volume 1 de l’édition publiée par W. Schmidt en 1903

Le premier paragraphe permet à Héron de poser les bases de son traité. Il nous informe qu’il va décrire deux types de théâtres automatiques, un mobile et un fixe.

Dans le deuxième paragraphe, il préconise l’usage d’un sol en bois qui soit le plus plat possible. Ce sol droit permet à la structure de se mouvoir tout en évitant les frottements et les obstacles. La construction des cordes, qui permettent d’animer le mécanisme, est détaillée. Elles ne doivent pas s’étirer ni se comprimer. Héron présente le contrepoids qui est l’élément le plus imposant et important de la structure. Son théâtre automatique à base mobile doit être le plus léger possible. Son contrepoids repose sur des graines de millet ou de moutarde. Ses graines sont remplacées par du sable sec pour le deuxième type de théâtre. Afin que l’appareil apparaisse comme quelque chose de nouveau, Héron évite de reproduire des représentations théâtrales imaginées par ses prédécesseurs.

Le troisième paragraphe fait la liste de tous les composants dont nous avons besoin pour construire un tel mécanisme et restituer l’animation de l’apothéose de Bacchus. Le premier élément est la présentation et la construction d’un piédestal qui va accueillir l’essieu moteur et le système des cymbales. Toutes les dimensions sont présentes et énoncées en coudées. Au dessus de cette structure rectangulaire, quatre colonnes et un architrave entourent la boite qui dissimule le contrepoids. Un plancher de bois sur l’architrave permet de placer un petit tholos. Ce temple rond à six colonnes accueille Bacchus en son centre. La divinité est représentée avec un thyrse dans sa main gauche et une coupe dans sa main droite. Une panthère est allongée à ses pieds. Sur le sommet du temple, Niké,déesse de la Victoire, est exposée ailes déployées et munie d’une couronne de fleurs. Autour de ce temple, six Bacchantes sont placées au niveau de chaque colonne. Deux autels sont disposés de part et d’autre de Bacchus.

Dans le quatrième paragraphe, l’animation de l’apothéose de Bacchus est présentée et découpée en cinq périodes :

1. Le théâtre avance sur quelques mètres et s’arrête.

2. L’autel devant Bacchus s’allume. Les bacchantes dansent en tournant autour du temple. Les guirlandes de fleurs tombent de l’architrave et Bacchus donne une libation de lait (par le tuyau creux du thyrse) et de vin (coupe).

3. Le cymbales retentissent et au même moment Bacchus et Niké tournent à 180 degrés. Le deuxième autel se retrouvant maintenant en face de Bacchus s’allume. Le dieu effectue une nouvelle libation et les Bacchantes, une nouvelle danse.

4. Le son des cymbales et les Bacchantes s’arrêtent

5. Le théâtre revient en position initiale.

Les paragraphes cinq et six décrivent la construction de l’essieu moteur installé au sein du piédestal. Héron explique comment effectuer un aller et retour avec un temps d’attente, pour laisser le spectacle se jouer avant le retour en position de départ.

Dans un premier temps, le théâtre se déplace en ligne droite. Mais Héron propose des solutions pour d’autres formes de déplacements. Ainsi aux paragraphes six et huit, il décrit des mécanismes permettant d’effectuer un mouvement circulaire à la structure. Dans les paragraphe neuf et dix, le caisson se déplace sur une piste rectangulaire. Quant au onzième paragraphe, le mécanisme qui est décrit permet d’effectuer des mouvements arbitraires.

L’allumage des feux des autels est présenté au paragraphe douze, tandis que le mécanisme permettant à Bacchus d’effectuer des libations est décrit au paragraphe treize. La construction des cymbales permettant de sonoriser l’automate est décrit avec précision dans le paragraphe quatorze. Son installation doit se faire au sein du piédestal et être dissimulée de la vison du public.

La présence de guirlandes de fleurs, cachées sous l’architrave, permet d’ajouter un mécanisme automatique de plus à notre construction. Elles sont alourdies de plombs permettant de descendre plus vite lors de leurs activation. La construction des plaques les retenant est exposée dans le paragraphe quinze.

Les derniers paragraphes exposent des méthodes permettant de camoufler les différents mécanismes qui composent l’automate.

Le théâtre automatique à base mobile est l’automate le plus complexe que nous avons restitué. Il utilise plusieurs principes mécaniques différents : usage de la pneumatique, système de cordage pré-programmé et contrepoids-moteur. Nous allons décrire une à une les différentes parties de la machine afin de mieux comprendre comment elle fonctionne. Le schéma propose différents mécanismes du théâtre et pose les bases du travail de restitution.

L’élément central de cet automate est l’essieu-moteur. Il joue un rôle prépondérant dans l’animation de la machine. Héron précise dans son traité que les roues de cet essieu doivent être invisibles des yeux des spectateurs afin de faire croître l’étonnement chez eux. Cet essieu dispose de deux roues munies d’une surface rugueuse pour obtenir le plus d’adhérence possible. La surface centrale de l’essieu, de forme cylindrique et plus épaisse, accueille l’enroulement de la corde. La corde est enroulée de manière très spécifique afin de proposer trois animations de durée similaire :

1. Pour déplacer le théâtre, on enroule la corde autour de l’essieu.

2. Ensuite, le théâtre est fixe et l’essieu ne tourne plus. Pour cela nous allons effectuer des « vagues » avec la corde et la coller sur l’essieu de manière à ce que le contrepoids les décolle facilement sans le faire tourner.

3. Pour le retour de la machine en position initiale, il suffit d’enrouler la corde de manière contraire à l’aller.

Le contrepoids fait office de chef d’orchestre de l’automate. C’est lui qui permet d’animer les différents mécanismes et de faire avancer le théâtre. Il est situé dans la partie médiane de la machine, où les grandes colonnes sont présentes. Il est camouflé à l’intérieur du caisson de bois situé au milieu. Pour activer l’automate, l’opérateur doit tirer sur une cordelette afin de libérer les graines de millet (ou de moutarde) et de faire descendre le contrepoids. Deux cordes sont reliées à lui :

1. La première est attachée à l’essieu-moteur à l’aide de plusieurs poulies et permet de faire avancer et reculer le théâtre automatique de façon rectiligne.

2. La seconde est attachée à un cylindre de bois qui tourne sur son axe lorsque nous le sollicitons.

Ce cylindre de bois est une sorte de grosse poulie qui reçoit les différents cordages de différentes longueurs pour lancer à un instant T chaque animation : nous parlons ici d’un système de cordage pré-programmé. En effet, lorsque le cylindre tournera par l’action du contrepoids, cela entraînera le déclenchement de plusieurs mécanismes par l’action des cordes. Les différentes tailles de cordes vont permettre d’activer des animations à des moments bien précis.

La première animation qui est déclenchée est l’allumage du feu de l’autel situé devant la représentation de Bacchus. Dans l’autel, une lampe à huile est dissimulée pour allumer les copeaux de bois secs déposés sur le dessus. Cette lampe est allumée par l’opérateur en coulisses, afin de garder le tout secret. Une trappe retient la flamme à l’intérieur de l’autel et évite que les copeaux ne s’embrasent aussitôt. Elle est reliée à une petite chaine qui est attachée à une corde fixée au cylindre de bois. Le mouvement circulaire du cylindre tire sur la corde et actionne l’ouverture de la trappe. La flamme est libérée et le feu s’allume.

Au même moment Bacchus effectue une libation. De son thyrse jaillit de l’eau (ou du lait) et de sa coupe du vin. Pour cela des réservoirs sont dissimulés dans le toit du temple et sont reliés à Bacchus par des tuyaux camouflés à l’intérieur d’une colonne. Une vanne permet de laisser couler les liquides. Elle est ouverte lorsque la corde est tirée par le cylindre de bois.

L’apparition des guirlandes de fleurs se fait d’une manière très simple. Elles sont retenues par un cadre de planches de bois. Chaque planche retient sa voisine et un loquet bloque la dernière. Ce loquet qui est relié à une corde permet de libérer les planches qui sont attachées à des charnières. Lorsque Bacchus effectue ses libations, les trappes en bois s’ouvrent et les guirlandes fleuries apparaissent.

Les six bacchantes sont fixées sur un cylindre autour du petit temple. Autour de ce cylindre est attachée une corde pour le faire tourner. L’animation de cette pièce de bois va simuler la danse de ces femmes. La corde est actionnée par le mouvement circulaire du système de cordage pré-programmé (le cylindre de bois vu précédemment). Ainsi nous observons la danse circulaire des prêtresses de Bacchus.

Bacchus et la Victoire effectuent ensuite une rotation de 180 degrés. Pour cela, des cordes sont enroulées sur des axes de bois camouflées sous les sculptures. Comme pour les tuyaux, la corde reliée à la Victoire est dissimulée dans une colonne du temple. Bacchus reprend ses libations, les bacchantes dansent de nouveau et le second autel s’allume.

Le contrepoids arrive à la fin de son mouvement vertical et tire sur les derniers centimètres de corde de l’essieu-moteur pour effectuer le retour à la position initiale de l’automate.

Pour résumer, le fonctionnement du mécanisme peut être divisé en huit étapes :

1. Le théâtre se met en marche jusqu’à un point déterminé où il s’arrête.

2. L’autel (situé en avant de Bacchus) s’allume et du lait ou de l’eau jaillit de son thyrse, tandis que sa coupe verse du vin sur la panthère.

3. Les quatre faces du soubassement se ceignent de couronnes.

4. Au bruit des tambours et cymbales, les bacchantes dansent en rond autour de l’édicule.

5. Le bruit ayant cessé, Bacchus et la victoire font ensemble volte-face.

6. L’autel situé derrière le dieu se trouve alors amené en avant et s’allume à son tour avec un nouvel épanchement du thyrse et de la coupe ainsi qu’une nouvelle danse des bacchantes.

7. La danse achevée, le théâtre revient à sa position première.

8. Fin de l’apothéose de Bacchus.

L’automate du théâtre mobile d’Héron d’Alexandrie permettait d’étonner et d’émerveiller l’auditoire. En effet, comme le décrit le mécanicien : « la petitesse de l’ouvrage permet d’ôter les doutes quant à la présence d’un opérateur à l’intérieur ». De ce fait, cela devait certainement procurer beaucoup d’émotions de voir un tel automate bouger et s’animer de lui-même. Héron décrit plusieurs systèmes de navigation pour l’essieu moteur dans son traité : trajectoires courbes, lignes droites etc. Cependant il semble s’attarder sur l’usage de la ligne droite comme trajectoire pour son automate. Cela nous donne un indice important pour le lieu qu’utilise le mécanicien pour faire ses démonstrations. Son automate pouvait être présenté au sein d’un amphithéâtre des « écoles » d’Alexandrie pour toucher un bon nombre de personnes. Ce type d’amphithéâtre était certainement utilisé dans le cadre du Musée d’Alexandrie. La faible largeur de l’espace central permet à l’automate de faire seulement un aller et retour comme le recommande Héron. On veillera à installer une surface plane en bois favorisant le glissement. Plusieurs dizaines de personnes pourront ainsi assister à la représentation.

Héron, Automata. 1, 1-19

ΗΡΩΝΟΣ ΑΛΕΞΑΝΔΡΕΩΣ \ ΠΕΡΙ ΑΥΤΟΜΑΤΟΠΟΙΗΤΙΚΗΣ.

(1) Τῆς αὐτοματοποιητικῆς πραγματείας ὑπὸ τῶν πρότερον ἀποδοχῆς ἠξιωμένης διά τε τὸ ποικίλον τῆς ἐν αὐτῇ δημιουργίας καὶ διὰ τὸ ἔκπληκτον τῆς θεωρίας. ἔστι γάρ, ὡς συνελόντι εἰπεῖν, πᾶν μέρος τῆς μηχανικῆς ἐν αὐτῇ τῇ αὐτοματοποιητικῇ παραλαμβανόμενον διὰ τῶν κατὰ μέρος ἐν αὐτῇ ἐπιτελουμένων. ἔστι δὲ αὐτῆς ἡ ἐπαγγελία τοιάδε· κατασκευάζονται ναοὶ ἢ βωμοὶ σύμμετροι αὐτόματοί τε προσαγόμενοι καὶ κατά τινας ὡρισμένους ἱστάμενοι τόπους, καὶ τῶν ἐνόντων αὐτοῖς ζῳδίων ἕκαστον ἰδίᾳ κινεῖται πρὸς λόγον τὸν κατὰ τὴν προκειμένην πρόθεσιν ἢ μῦθον ἁρμόζοντα, καὶ εἰς τὸν ἐξ ἀρχῆς ἀποκαθίστανται τόπον. τὰ μὲν οὖν τοιαῦτα δημιουργήματα τῶν αὐτομάτων καλεῖται ὑπάγοντα. ἔστι δὲ καὶ ἕτερον εἶδος ἐν αὐτοῖς, ὃ καλεῖται στατόν. ἔστι δὲ καὶ τούτου ἡ ὑπόσχεσις τοιαύτη· ἐπί τινος κιονίσκου πίναξ ἐφέστηκε θύρας ἔχων ἀνοιγομένας, καὶ ἐν αὐτῷ … διάθεσις ζῳδίων πρός τινα μῦθον διεσκευασμένων. κεκλεισμένου οὖν τοῦ πίνακος αἱ θύραι αὐτόματοι ἀνοίγονται, καὶ φαίνεται ἡ τῶν ζῳδίων τάξις γεγραμμένη· καὶ μετ’ οὐ πολὺν χρόνον κλεισθεισῶν τῶν θυρῶν πάλιν αὐτομάτως καὶ ἀνοιχθεισῶν, ἑτέρα φαίνεται διάθεσις ζῳδίων ἁρμόζουσα τῇ πρότερον φανείσῃ· καὶ πάλιν κλεισθεισῶν καὶ ἀνοιχθεισῶν τῶν θυρῶν ἑτέρα διάθεσις πάλιν φαίνεται ζῳδίων ἁρμόζουσα τῇ πρότερον κειμένῃ, καὶ ἤτοι ἀπαρτίζει τὸν προκείμενον μῦθον ἢ πάλιν μετὰ ταύτην ἑτέρα φαίνεται, ἄχρις ἂν ἀπαρτισθῇ ὁ μῦθος. καὶ τῶν φαινομένων δὲ ζῳδίων τῶν γεγραμμένων ἐν τῷ πίνακι ἓν ἕκαστον ἐν κινήσει δύναται φαίνεσθαι, ἐὰν ἀπαιτῇ ὁ μῦθος, οἷον ἃ μὲν πρίζοντα, ἃ δὲ σκεπαρνίζοντα, ἃ δὲ σφύραις ἢ πελέκεσιν ἐργαζόμενα, ψόφον ποιοῦντα καθ’ ἑκάστην πληγὴν καθάπερ ἐπὶ τῆς ἀληθείας. δύνανται δὲ καὶ ἕτεραι κινήσεις ὑπὸ τὸν πίνακα γίγνεσθαι, οἷον πῦρ ἀνάπτεσθαι ἢ ζῴδια ἐπιφαίνεσθαι πρότερον μὴ φαινόμενα καὶ πάλιν ἀφανίζεσθαι. καὶ ἁπλῶς, ὡς ἄν τις ἕληται δυνατόν ἐστι κινεῖν μηδενὸς προσιόντος τοῖς ζῳδίοις. ἔστι δὲ ἡ τῶν στατῶν αὐτομάτων ἐνέργεια ἀσφαλεστέρα τε καὶ ἀκινδυνοτέρα καὶ μᾶλλον πᾶσαν ἐπιδεχομένη διάθεσιν τῶν ὑπαγόντων. ἐκάλουν δὲ οἱ παλαιοὶ τοὺς τὰ τοιαῦτα δημιουργοῦντας θαυματουργοὺς διὰ τὸ ἔκπληκτον τῆς θεωρίας. ἐν μὲν οὖν τούτῳ τῷ βιβλίῳ περὶ τῶν ὑπαγόντων γράφομεν ἐκθέμενοι διάθεσιν ποικίλην κατά γε ἡμᾶς, ἥτις ἁρμόσει πάσῃ διαθέσει πρὸς τὸ δύνασθαι τὸν προαιρούμενον ἑτέρως διατίθεσθαι μηδὲν ἐπιζητοῦντα πρὸς τὴν τῆς διαθέσεως ἐνέργειαν· ἐν δὲ τῷ ἑξῆς περὶ τῶν στατῶν αὐτομάτων γράφομεν.

Die Schaustellung der Automaten (Automatentheater) erfreute sich bei den Alten grofser Beliebtheit, einmal, weil eine mannigfaltige Kunstfertigkeit dabei entwickelt wird, sodann, weil das (dargebotene) Schauspiel geradezu staunenerregend ist. Denn eben die Anfertigung der Automaten bringt, um es kurz zu sagen, jeden Teil der Mechanik vermittelst dessen, was im einzelnen dabei ausgeführt wird, zur Anwendung. Was der Bau der Automaten verspricht, ergiebt sich aus folgendem. Man stellt Tempel oder Altäre von mäfsigem Umfange her, die sich von selbst heranbewegen und auf einigen bestimmten Punkten halten ; dann bewegt sich jede von den darin befindlichen Figuren entsprechend dem vorliegenden Plane oder einer passenden Fabel für sich, und (schliefslich) kehren Tempel und Altar nach ihrem ursprünglichen Platze zurück. Die auf solche Art gearbeiteten Automaten nennt man fahrende. Es giebt aber unter den Automaten auch eine andere Art, die sogenannten stehenden Automaten. Diese Art verspricht folgendes zu leisten. Auf einer niedrigen Säule steht eine Tafel mit Thüren, die sich öfihen können, und auf dieser sieht man eine Darstellung von Figuren, die in ihrer Anordnung irgend einem Stücke entsprechen. Die Tafel ist nun (zu Anfang) geschlossen ; dann öffnen sich die Thüi-en von selbst, und die Gruppierung der Figuren auf dem Bilde wird sichtbar. Haben sich nach kurzer Zeit die Thüren wieder von selbst geschlossen und geöffnet, so erscheinen die Figuren anders verteilt, aber doch der zuerst vorgeführten Darstellung entsprechend. Wenn die Thüi-en wieder geschlossen und geöffnet sind, zeigt sich abermals eine andere Verteilung der Figuren, die zu der vorher erschienenen pafst, und entweder führt diese das zu Grunde liegende Stück zu Ende, oder es kommt nach dieser nochmals eine andere Darstellung zum Vorschein, bis das Stück zu Ende geführt ist. Von den auf der Tafel sichtbaren, gemalten Figuren läfst sich jede einzelne in Bewegung zeigen, sobald es die Fabel erfordert, z. B. können die einen sägen, die andern das Schlichtbeil handhaben, wieder andere mit Hämmern oder Zimmeräxten arbeiten, indem sie bei jedem Schlage ein der Wirklichkeit entsprechendes Geräiisch hervorbringen. Es können auch andere Bewegungen auf der Bühne vorgeführt werden, z. B. kann Feuer angezündet werden oder es können bis dahin nicht sichtbare Figuren plötzlich erscheinen und wiederum versehwinden. Kurz, man kann jede beliebige Bewegung ausführen, ohne dafs man sich den Figuren nähert. Die Thätigkeit (bezw. der Mechanismus) der stehenden Automaten ist sicherer und weniger gefährdet und läfst in gröfserem Mafse jede Art der Darstellung zu als die fahrenden. Die Männer, welche sich mit dergleichen Dingen befafsten, nannten die Alten, weil das Schauspiel ihre Verwunderung eiTegte, Wunderkünstler (Thaumaturgen). In diesem Buche schreiben wir nun über die fahrenden Automaten, indem wir eine Darstellung vei-anschaulichen, welche wenigstens nach unserer Meinung mannigfaltig ist und zu jeder beliebigen (anderen) Darstellung pafst, damit der, welcher die Vorführung eines andern Stückes plant, dazu imstande ist und in Hinsicht auf das Gelingen der Vorstellung nichts vermifst. Im folgenden Buche handeln wir dagegen von den stehenden Automaten.

(2) Δεῖ δὲ πρῶτον ἀπόκροτον εἶναι καὶ ἀκλινὲς καὶ ὁμαλὸν τὸ ἔδαφος ἐν ᾧ μέλλει τὸ αὐτόματον ὑπάγειν, ἵνα μήτε οἱ τροχοὶ αὐτοῦ καταδύνωσι πιεζόμενοι μήτε ἐμποδίζωνται ὑπὸ τραχύτητός τινος μήτε πρὸς ἀνάβασιν βιαζόμενοι εἰς τὸ ὀπίσω ἐπινεύωσιν. ἐὰν δὲ μὴ ὑπάρχῃ τὸ ἔδαφος τοιοῦτον οἷον εἴρηται, δεῖ σανίδας ἀπορθώσαντας ἐπὶ τοῦ ἐδάφους διατιθέναι, ἐν αἷς κατὰ μῆκος ἔσονται σωλῆνες δι’ ἐφηλωτῶν κανόνων πρὸς τὸ τοὺς τροχοὺς ἐν τοῖς σωλῆσι κυλίεσθαι. δεῖ δὲ τὰ ὑπάγοντα κατασκευάζειν ἐκ κούφων τε καὶ ξηρῶν ξύλων, κἂν ἐξ ἄλλης δέ τινος ὕλης ὑπάρχῃ τι ἐν αὐτοῖς κατεσκευασμένον, καὶ τοῦτο δεήσει ὡς κουφότατον πειρᾶσθαι ποιεῖν, ἵνα μὴ διὰ τὸ βάρος δυσκίνητα γένηται. δεῖ δὲ καὶ ὅσ’ ἂν ἐγκυκλίους στροφὰς ἢ κινήσεις ποιῆται, ταῦτα ἔντορνά τε ἀκριβῶς καὶ περὶ ἃ κινεῖται λεῖα καὶ μὴ τραχέα ὑπάρχειν, οἷον οἱ μὲν τροχοὶ περὶ κνώδακας σιδηροῦς ἐμβεβηκότας εἰς ἐμπυελίδας σιδηρᾶς, τὰ δὲ ζῴδια περὶ ἄξονας χαλκοῦς ἐμβεβηκότας εἰς χοινικίδας χαλκᾶς συνεσμηρισμένας αὐτοῖς. καὶ ἔλαιον δὲ παρεπιχέειν δεήσει εἰς ταῦτα, ὅπως κατὰ [πάντα] τρόπον εὐκύλιστα πάντα ὑπάρχῃ καὶ μηδὲν παρὰ τοῦτο σφίγμα γένηται· εἰ δὲ μή, οὐκ ἔσται τῶν προκειμένων κατὰ λόγον οὐδὲ ἕν. δεῖ δὲ καὶ τὰς σπάρτους, αἷς εἰς ταῦτα προσχρώμεθα, μήτε ἐπέκτασιν μήτε συστολὴν λαμβάνειν, ἀλλὰ τοιαύτας διαμένειν τοῖς μήκεσιν οἷαι καὶ ἐξ ἀρχῆς κατεστάθησαν. τοῦτοδὲ ἔσται, ἐὰν λαβόντες αὐτὰς περί τινας πασσαλίσκους διατείναντες εὖ μάλα καὶ ἐάσαντες αὐτὰς ὀλίγον χρόνον πάλιν ἐπεκτείνωμεν καὶ τοῦτο πλεονάκις ποιήσαντες κηρὸν μετὰ ῥητίνης καταψήσωμεν. βέλτιον δ’ εἰ καὶ βάρος ἐξ αὐτῶν ἐξάψαντες ἐάσομεν ἐπὶ πλείονα χρόνον. προβασανισθεῖσα δὲ οὕτως οὐδεμίαν ἐπέκτασιν λήψεται ἢ παντελῶς βραχεῖαν. ἢ πάλιν ἀποκόψομεν, ὅταν ἐξαρτύσαντες τὸ αὐτόματόν τινα αὐτῶν παρεκτεταμένην εὕρωμεν. νευρίνῳ δὲ οὐδενὶ δεῖ χρῆσθαι, ἐπειδὴ παρεκτείνεται καὶ συστέλλεται κατὰ τὴν τοῦ ἀέρος περίστασιν, εἰ μὴ ἄρα ὅταν δέῃ ὕσπληγγι χρήσασθαι. ὁ δὲ ὕσπληγξ ἔστω καθάπερ ἐν τοῖς καταπέλταις ὁ ἄξων κατατεταγμένος ἐν τῷ ἡμιτονίῳ, ὡς ἑξῆς ἔσται δῆλον. πάντα δὲ ταῦτα τὰ ὑπάγοντα τὴν ἀρχὴν λαμβάνει τῆς κινήσεως διὰ ὕσπληγγος ἢ λείας μολιβῆς. κοινὸν δέ ἐστι τοῦ κινοῦντος καὶ τοῦ κινουμένου σπάρτος ἔχουσα τὴν μὲν μίαν ἀρχὴν πρὸς τῷ κινοῦντι προσδεδεμένην, τὴν δὲ ἑτέραν πρὸς τῷ κινουμένῳ προση<γκυ>λωμένην. τὸ δὲ κινούμενον ἄξων ἐστί, περὶ ὃν ἡ σπάρτος περιείληται. τῷ δὲ ἄξονι προσαραρότες εἰσὶ τροχοί, ὥστε τοῦ ἄξονος στρεφομένου καὶἀπειλισσομένης τῆς σπάρτου συστρέφεσθαι καὶ τοὺς τροχοὺς ἐρείδοντας ἐπὶ τὸ ἔδαφος. τοῖς δὲ τροχοῖς περίκειται τὸ τοῦ ὑπάγοντος αὐτομάτου πλινθίον. τάσιν δὲ ὕσπληγγος ἢ βάρος λείας δεῖ πρὸς τὰ ὅλα ἡρμόσθαι, ὅπως μὴ κατακρατῆται ἤτοι τὸ βάρος ἢ ἡ τοῦ ὕσπληγγος τάσις ὑπὸ τοῦ πλινθίου. αἱ δὲ ἐκ τῆς πορείας κινήσεις γίνονται πασῶν τῶν σπάρτων προσηγκυλωμένων μὲν τοῖς κινουμένοις ὀργάνοις, ἀποδεδεμένων δὲ εἰς τὴν λείαν. ἡ δὲ λεία ἐστὶν ἔν τινι σύριγγι, ἁρμοστῶς καὶ εὐλύτως δυναμένη καταβαίνειν εἰς αὐτήν. ἐν δὲ τῇ σύριγγι ἐπὶ μὲν τῶν ὑπαγόντων ἢ κέγχρος ἢ νᾶπυ ἐμβάλλεται διὰ τὸ κοῦφά τε ἀμφότερα εἶναι καὶ ὀλισθηρά, ἐν δὲ τοῖς στατοῖς ἄμμος ξηρὰ ἐμβάλλεται, ὧν ἐκρεόντων διὰ τοῦ πυθμένος τῆς σύριγγος ἡ λεία ἠρέμα καταφερομένη τὰς κινήσεις ἀποτελεῖ ἐπισπωμένη ἑκάστην σπάρτον. ἀρχὴ δὲ κινήσεώς ἐστι τάσις σπάρτου, κινήσεως δὲ στάσις ἀπόλυσις σπάρτου ἐκπεσούσης τῆς ἀγκύλης ἀπὸ τοῦ τύλου τοῦ ἐν τῷ κινουμένῳ ὀργάνῳ. αἱ δὲ ὑπὸ τῆς λείας ἑλκόμεναι σπάρτοι πᾶσαι ἰσοταχῶς μὲν ἕλκονται, οὐκ ἰσοταχεῖς δὲ τὰς κινήσεις ποιοῦνται διὰ τὸ μὴ περὶ ὅμοια ὄργανα αὐτὰς περιειλεῖσθαι, ἀλλὰ ἃς μὲν περὶ μείζονας κύκλους, ἃς δὲ περὶ ἐλάσσονας. δεῖ δὲ τῶν μὴ ἅμα κινουμένων ὀργάνων τὰς σπάρτους μὴ ἅμα τετάσθαι, ἀλλὰ τῶν ὕστερον κινουμένων τὰς σπάρτους χαλάσματα ἔχειν. τὰ δὲ χαλάσματα μηρύματα δεῖ ποιεῖν καὶ προσκολλᾶν κηρῷ ἐντὸς τοῦ πλινθίου κατὰ τὸν ἐπιβάλλοντα τόπον, ὅπως ἡ λεία ἐπισπωμένη τὸ χάλασμα πραέως τείνῃ τὴν σπάρτον. προσέχειν δὲ δεῖ καὶ ταῖς σπάρτοις, ὅπως ἑκάστη αὐτῶν τῷ ἰδίῳ ὀργάνῳ προσαγκυλωθῇ καὶ μὴ ἐπ’ ἀριστερὰ τὴν ἐπείλησιν λάβῃ· μιᾶς γὰρ αὐτῶν ἀλλαγείσης ἢ ἐπ’ ἀριστερὰ ἐπειληθείσης τὰ ὅλα στάσιν λήψεται. δεῖ δὲ καὶ τὰς τῶν ἀρχαίων ἐκφυγεῖν διαθέσεις, ὅπως καινότερον τὸ κατασκεύασμα φαίνηται· δυνατὸν γάρ, ὡς προείρηται, ταῖς αὐταῖς μεθόδοις χρώμενον ἑτέρας καὶ ἑτέρας διαθέσεις ποιεῖσθαι. βέλτιον δ’ ἐν τούτοις ἀναστρέψει ὁ χαριεστέραν ἐπινοῶν διάθεσιν. ἣν δὲ ἡμεῖς ἐκτιθέμεθα, ἔστι τοιαύτη.

Zunächst mufs der Boden, auf dem der Automat vorrücken soll, fest, wagerecht und eben sein, damit seine Räder weder infolge des Druckes einsinken, noch von einer rauhen Stelle gehemmt werden, noch bergauf getrieben zurücklaufen. Wenn ein solcher Boden, wie er eben beschrieben, nicht vorhanden ist, mufs man Bretter wagerecht auf den Boden legen, auf denen der Länge nach Schienen vermittelst festgenagelter Latten hergestellt werden, damit die Räder in den Schienen rollen. Die fahrenden Automaten mufs man aus leichtem, trocknem Holz anfertigen. Sind sie aber teilweise aus anderem Material gemacht, mufs man versuchen, auch dieses möglichst leicht zu machen, damit nicht infolge der Schwere ihre Bewegung zu schwerfällig wird. Es mufs ferner alles, was kreisförmige Wendungen oder Bewegungen macht, recht rund, und die Gegenstände, um welche die Bewegung stattfindet, müssen glatt und nicht rauh sein, wie z. B. die Räder um eiserne, in eisernen Naben ruhende Achsen und die Figuren um kupferne Achsen, die in kupfernen, entsprechend ausgeschliffenen Büchsen (Lagern) liegen. Man mufs auch Öl daran giefsen, damit in rechter Weise alles leicht rollt (sich bewegt), ohne dafs dabei irgend welche Klemmung entsteht. Sonst wird die Lösung der vorliegenden Aufgabe auch nicht in einem einzigen Punkte unserer Erwartung entsprechen. Es dürfen ferner die Schnüi’e, welche wir noch dazu gebrauchen, sich weder dehnen noch zusammenziehen, sondern sie müssen immer so lang bleiben, als sie anfangs gemacht sind. Das erreichen wir, wenn wir sie um einige Pflöcke hängen, sie recht fest anspannen, kurze Zeit so lassen, dann wieder weiter ausdehnen und nach öfterer Wiederholung dieses Verfahrens Wachs mit Harz daranstreichen. Besser aber ist es, wenn wir auch ein Gewacht daranhängen und längere Zeit es so hängen lassen. Wenn man die Schnur vorher so erprobt hat, dehnt sie sich gar nicht weiter oder nur ganz wenig. Oder falls wir beim Bespannen des Automaten finden, dais eine von ihnen sich noch mehr gedehnt hat, schneiden wir sie ab. Man darf aber nichts verwenden, was aus Sehnen gemacht ist, da es je nach der Beschaffenheit der Luft sich ausdehnt oder zusammenzieht, falls es nicht etwa nötig ist, ein Spannholz zu verwenden. Das Spannholz (Hysplenx) sei aber älmlich wie bei den Katapulten die in den Halbspaun (Hemitonion, Sehnenstrang) gesetzte, (sogenannte) Achse (Spannbolzen), wie man weiter unten sehen wird. Alle diese fahrenden Automaten erhalten den Antrieb zur Bewegung durch eine Schnur oder vielmehr ein Gegengewicht aus Blei. Gemeinsam ist dem bewegenden und dem bewegten Gegenstände eine Schnur, deren eines Ende an den bewegenden KörjDer gebunden, deren anderes aber mittels einer Ose an dem bewegten Gegenstande befestigt ist. Der bewegte Körper ist eine Achse, um welche die Schnur gewickelt ist (Fig. 83b). An der Achse sitzen Räder fest. Wenn daher die Achse sich dreht und die Schnur sich abwickelt, drehen sich auch die Räder, die auf dem Boden ruhen. Die Räder umgiebt beim fahrenden Automaten der Radkasten. Die Spannung der Schnur oder die Schwere des Gewichtes mufs aber dem Ganzen angepafst sein, damit nicht der Kasten das Gegengewicht oder die Spannung der Schnur überwiegt. Abgesehen von der Bewegung von Ort zu Ort erfolgendie Bewegungen dadurch, dafs sämtliche Schnüre sowohl an die bewegten Vorrichtungen vermittelst Schlingen befestigt als an das Gegengewicht angebunden sind. Das Gegengewicht befindet sich in irgend einem Gewichtskasten (Syrinx, Pfeife) und kann passend und leicht in demselben hinuntergleiten. In den Gewichtskasten wird bei den fahrenden Automaten entweder Hirse oder Senfkorn geschüttet, weil beides leicht und schlüpfrig ist ; bei den stehenden Automaten thut man trockenen Sand hinein. Wenn dies nun durch den Boden des Gewichtskastens ausläuft, so senkt sich allmählich das Gegengewicht und bringt durch das Anziehen jeder (einzelnen) Schnur die Bewegungen hervor. Den Antrieb zur Bewegung giebt die Anspannung der Schnur, das Aufhören der Bewegung aber die Loslösung derselben , indem die Ose von dem an der bewegten Vorrichtung befindlichen Pflocke abfällt. Die von dem Gegengewicht gezogenen Schnüre werden alle gleich schnell gezogen, rufen aber nicht gleich schnelle Bewegungen hervor, weil sie nicht um gleiche (maschinelle) Vorrichtungen gewickelt werden, sondern die einen um gröfsere Peripherien (nämlich Achsen), die anderen um kleinere. Die Schnüre derjenigen Vorrichtungen, die nicht zur selben Zeit mit bewegt werden, dürfen nicht gleichzeitig gespannt sein, sondern die Schnüre der sich später bewegenden müssen lockere (nicht gespannte) Teile haben ; diese ungespannten Teile müssen (lockere) Stränge (Schnurlagen) bilden und sind innerhalb des Kastens mit Wachs an der richtigen Stelle anzukleben, damit das Gegengewicht durch das Anziehen des lockeren Teiles allmählich die Anspannung der Schnur herbeiführt. Man mufs auch darauf achten, dafs jede derSchnüre mittels der Öse an die zugehörige Vorrichtung geknüpft und nicht verkelirt aufgewickelt wird. Wird nämlich eine von ihnen vertauscht oder verkehrt aufgewickelt, so wird das Ganze zum Stehen kommen. Man mufs ferner die Darstellungen der Vorgänger zu vermeiden suchen, damit der Apparat als etwas Neues erscheint. Denn man kann, wie oben bemerkt, unter Anwendung derselben Methoden immer wieder andere Darstellungen bieten. Je anmutiger die Scenerie ist, welche einer erfindet, um so gröfser wird sein Erfolg sein. Diejenige, welche wir veranschaulichen wollen, ist folgendermafsen beschaffen.

(3) <Ἔστω> βάσις μῆκος ἔχουσα ὡς πήχεος, πλάτος δὲ ὡς παλαιστῶν τεσσάρων, ὕψος δὲ ὡς παλαιστῶν τριῶν, κυμάτιον ἔχουσα περιτρέχον εἴς τε τὸ ἄνω καὶ τὸ κάτω μέρος. ἐπὶ δὲ τῶν γωνιῶν αὐτῆς ἐφέστηκε κιόνια τέσσαρα, ὕψος μὲν ἔχοντα ὡς παλαιστῶν ηʹ, πλάτος δὲ παλαιστῶν δύο, ἔχοντα ὑποκείμενα σπειρία καὶ τούτοις ἁρμοζούσας κεφαλὰς ἐπικειμένας. ἐπὶ δὲ τῶν κεφαλίων ἐπίκειται καθάπερ ἐπιστύλιον κύκλῳ ὕψος ἔχον ὄγδοον τοῦ κίονος ὅλου, ὡς δακτύλων εʹ. κατὰ δὲ τῶν ἐπιστυλίων κατέστρωται σανίδια καλύπτοντα τὴν ἐπάνω ἐπιφάνειαν, καὶ περίκειται κύκλῳ κυμάτιον. ἐπὶ δὲ τοῦ καταστρώματος ἐφέστηκε μέσον ναΐσκος στρογγύλος περιφανὴς ἔχων κίονας ἕξ. ἐπὶ δὲ τούτου πυργίον κωνοειδὲς ἐφέστηκεν ἐντεταμένην ἔχον τὴνἐπιφάνειαν, καθάπερ εἴρηται. ἐπὶ δὲ τῆς κορυφῆς ἐφέστηκε Νίκη ἐκπεπετακυῖα τὰς πτέρυγας καὶ ἐν τῇ δεξιᾷ χειρὶ στέφανον κατέχουσα. ἐν δὲ μέσῳ τοῦ ναΐσκου ζῴδιον Διονύσου ἐφέστηκεν ἐν μὲν τῇ ἀριστερᾷ χειρὶ θύρσον κατέχον, ἐν δὲ τῇ δεξιᾷ σκύφον. παρακαθέζεται δὲ πανθηρίσκος πρὸς τοῖς τοῦ Διονύσου ποσίν. ἐν δὲ τοῖς ἔμπροσθεν καὶ τοῖς ὄπισθεν μέρεσιτοῦ Διονύσου ἐπὶ τοῦ καταστρώματος βωμὸς ἐπίκειται ἔχων ξύσματα τῶν σανίδων τεκτονικὰ ξηρὰ ὥστε εὔκαυστα εἶναι. κατὰ δὲ κίονα τῶν ἐν τῷ ναΐσκῳ τοῦ Διονύσου παρέστηκεν ἐκτὸς τοῦ ναΐσκου Βάκχη διεσκευασμένη ὡς ἄν τις προαιρῆται.

Man denke sich einen Sockel, etwa eine Äufsere Ein Elle (= 46 cm) lang, etwa vier Spannen (= 31 cm) breit und ungefähr drei Spannen (=23 cm) hoch, mit einer oben und unten ringsum laufenden Hohlkehle versehen. Auf den vier Ecken des Sockels stehen vier kleine, etwa acht Spannen (= 62 cm) hohe und zwei Spannen (= 15,5 cm) breite Pilaster, unten mit Wülsten und oben mit entsprechenden Kapitalen versehen. Auf den Kapitalen ruht ringsum eine Art Architrav, ein Achtel des ganzen Pilasters (= 7,71 cm), etwa vier Finger (=7,71 cm), hoch. Über die Architrave hin sind kleine Bretter gelegt, welche die Oberfläche verdecken, ringsum liegt eine Hohlkehle. Auf der Überdeckung steht in der Mitte ein rundes Tempelchen, von allen Seiten sichtbar, mit sechs Säulen. Auf diesem steht eine kegelförmige Kuppel (Türmchen), deren Oberfläche überspannt (überdacht)ist, wie oben bemerkt. Auf der Spitze steht Nike mit ausgebreiteten Flügeln und in der Rechten einen Kranz haltend. In der Mitte des Tempelchens steht eine Bacchusfigur mit einem Thyrsus in der Linken und einem Becher in der Rechten. Zu den Füfsen des Bacchus sitzt ein kleiner Panther. Vor und hinter Bacchus steht auf der Überdeckung ein Altar mit trockenen, leicht brennenden Hobelspänen. An jeder Säule am Bacchustempel steht aufserhalb desselben eine Bacchantin in beliebiger Stellung.

(4) Τούτων δὲ οὕτως ὑπαρχόντων ἐν ἀρχῇ τεθέντος τοῦ αὐτομάτου ἐπί τινα τόπον καὶ ἀποστάντων μετ’ οὐ πολὺν χρόνον ὑπάξει τὸ αὐτόματον ἐπί τινα ὡρισμένον τόπον. καὶ στάντος αὐτοῦ ἀνακαυθήσεται ὁ κατὰ πρόσθεν τοῦ Διονύσου βωμός. καὶ ἐκ μὲν τοῦ θύρσου τοῦ Διονύσου ἤτοι γάλα ἢ ὕδωρ ἐκπιτυσθήσεται, ἐκ δὲ τοῦ σκύφους οἶνος ἐκχυθήσεται ἐπὶ τὸν ὑποκείμενον πανθηρίσκον. στεφανωθήσεται δὲ πᾶς ὁ παρὰ τοὺς τέσσαρας κίονας τῆς βάσεως τόπος. αἱ δὲ περικύκλῳ Βάκχαι περιελεύσονται χορεύουσαι περὶ τὸν ναΐσκον. καὶ ἦχος ἔσται τυμπάνων καὶ κυμβάλων. καὶ μετὰ ταῦτα σταθέντων τῶν ἤχων ἀποστραφήσεται τὸ τοῦ Διονύσου ζῴδιον εἰς τὸ ἐκτὸς μέρος. ἅμα δὲ τούτῳ καὶ ἡ ἐπικειμένη τῷ πυργίῳ Νίκη συνεπιστραφήσεται. καὶ πάλιν ὁ ἔμπροσθεν γεγονὼς τῷ Διονύσῳ βωμός, πρότερον δὲ ὀπίσθιος ὑπάρχων ἀνακαυθήσεται. καὶ πάλιν ἐκ μὲν τοῦ θύρσου ὁ ἀναπιτυσμὸς ἔσται, ἐκ δὲ τοῦ σκύφους ἡ ἔκχυσις. καὶ πάλιν αἱ Βάκχαι χορεύουσι περιερχόμεναι τὸν ναΐσκον μετὰ ψόφου τυμπάνων καὶ κυμβάλων. καὶ πάλιν σταθεισῶν αὐτῶν τὸ αὐτόματον ἀναχωρήσει εἰς τὸν ἐξ ἀρχῆς τόπον. καὶ οὕτως τέλος ἕξει ἡ ἐπίδειξις. τοῖς δὲ εἰρημένοις μέτροις ἐχρησάμεθα ἀναγκαίως· μειζόνων γὰρ γενηθέντων ὑπόνοιαν ἕξει τὸ ὅραμα ὡς ἐντός τινος ταῦτα δημιουργοῦντος. διὸ δὴ ἔν τε τοῖς ὑπάγουσι καὶ ἐν τοῖς στατοῖς αὐτομάτοις δεῖ φυλάσσεσθαι τὰ μεγέθη διὰ τὴν ἐσομένην ὑπόνοιαν. τῆς οὖν διαθέσεως εἰρημένης ἑξῆς τὴν κατασκευὴν τῶν κατὰ μέρος ἐν αὐτῇ ποιησόμεθα.

Ist bei solchen Vorrichtungen zu Anfang der Automat an irgend einem Punkte aufgestellt, so wird bald nachdem wir zui’ückgetreten sind, der Automat nach einer bestimmten Stelle vorrücken. Wenn er dann stehen bleibt, wird der Altar (das Altarfeuer) vor Bacchus angezündet. Und aus seinem Thyrsus spritzt Milch oder Wasser, aus dem Becher ergiefst sich Wein auf den darunter liegenden Panther, der ganze Unterbau wird an den vier Pilastem bekränzt, die Bacchantinnen ringsum umkreisen im Tanze den Tempel, Trommelwirbel und Beckenschlag wird vernehmbar. Hat sich darauf der Lärm gelegt, so wird sich die Bacchusfigur nach aufsen wenden. Zugleich mit ihr wird sich auch die auf der Kuppel stehende Nike drehen. Dagegen wird nun der Altar, der jetzt vor Bacchus steht, vorher aber hinter ihm stand, aufflammen. Abermals sprudelt es aus dem Thyrsus hervor und erfolgt aus dem Becher der Ausgufs, und die Bacchantinnen tanzen von neuem unter Pauken- und Beckenschall um den Tempel. Wenn sie dann zum zweiten Male stehen bleiben, fährt der Automat nach seinem Ausgangspunkte zurück. Und so wird die Vorstellung ein Ende haben. Die erwähnten Mafse haben wir notgedrungen verwendet. Werden sie nämlich gröfser genommen, so wird die Schaustellung Verdacht erwecken, als ob im Innern jemand diese Bewegungen hervorbringe. Deshalb mufs man also sowohl bei den fahrenden als den stehenden Automaten sich vor grofsen Dimensionen hüten, weil eben Verdacht entstehen könnte. Nachdem nun die (allgemeine) Einrichtung angegeben ist, wollen wir der Reihe nach die einzelnen Teiledarin konstruieren.

(5) Οἱ μὲν οὖν πρὸ ἡμῶν τὴν ἐπὶ μιᾶς ὁδὸν τῆς τε πορείας καὶ τῆς ἀποπορείας παρέδωκαν ἡμῖν καὶ ταύτην κακοπαθῆ τε καὶ ἐπικίνδυνον· σπάνιον γὰρ ἐπιτυχεῖν κατακολουθοῦντα ταῖς ὑπ’ αὐτῶν ἀναγεγραμμέναις μεθόδοις, ὡς ἔστι φανερὸν τοῖς πεπειραμένοις αὐτῶν. ἡμεῖς δὲ ὑποδείξομεν, ὡς ἔστι τὴν ἐπ’ εὐθείας πορείαν καὶ ἀποπορείαν γίνεσθαι εὐκόπως τε καὶ ἀκινδύνως ἔτι τε καὶ ὡς <ἔστι> τὸ πλινθίον ἢ τὸ ζῴδιον κατὰ κύκλου τοῦ δοθέντος φέρεσθαι, οὐ μὴν ἀλλὰ καὶ ἐν παραλληλογράμμῳ ὀρθογωνίῳ τῷ δοθέντι φέρεσθαι. Καὶ πρότερον, ὡς ἐπὶ εὐθείας, ἐροῦμεν. Ἔστω γάρ τι πλινθίον τὸ ΑΒΓΔ, ἐν ᾧ ἄξων διακείσθω ὁ ΕΖ ἐν κνώδαξι στρεφόμενος, ἐμβεβηκὼς εἰς πυελίδας οὔσας ἐν τοῖς τοῦ πλινθίου τοίχοις. τῷ δὲ ἄξονι συμφυεῖς ἔστωσαν δύο τροχοὶ ἴσοι οἱ ΗΘ, ΚΛ τὰς περιφερείας εἰργασμένοι φακοειδεῖς· καὶ κατὰ μέσον τὸν ἄξονα ἐξελίκτρα ἡ ΜΝ καὶ αὐτὴ συμφυὴς τῷ ἄξονι, περὶ ἣν ἡ σπάρτος ἐπειληθήσεται. ταύτῃ δὲ συμφυὴς ἔστω τύλος ὁ Ξ, περὶ ὃν ἡ τῆς σπάρτου ἀγκύλη περικείσεται. ἕτερος δὲ ἔστω τροχὸς κατὰ μέσην τὴν ΓΔ πλευρὰν ὁ ΟΠ ἐν πήγματι πολευόμενος τῷ ΡΣΤΥ περὶ ἄξονα τὸν ΦΧ μικρὸν σφόδρα. οὕτως δὲ ἐνηρμόσθωσαν οἱ ἄξονες τῶν τροχῶν, ὥστε τὸ πλινθίον ἀκλινὲς καθεστάναι κατὰ πᾶν μέρος. τῆς οὖν ἀγκύλης τῆς σπάρτου περιβληθείσης περὶ τὸν Ξ τύλον, ἐπειλείσθω περὶ τὴν ἐξελίκτραν ἡ σπάρτος. καὶ σύριγγος ἐπικειμένης τετραγώνου πρὸς ὀρθὰς κατὰ μέσον τὸ πλινθίον, ἡ ἑτέρα ἀρχὴ τῆς σπάρτου διὰ τροχίλου ἀποδεδόσθω εἰς τὸ ἄνω μέρος τῆς σύριγγος καὶ ἐξήφθω εἰς μολιβοῦν βάρος ἐνὸν ἐντὸς ἐν τῇ σύριγγι. οὐκοῦν ἐάν τις ἀφῇ τὸ βάρος ἐν τῇ σύριγγι κάτω φέρεσθαι, τείνει τὴν σπάρτον. αὕτη δὲ ἀπειλουμένη ἀπὸ τῆς ἐξελίκτρας ἐπιστρέψει τοὺς ΗΘ, ΚΛ τροχούς· οὗτοι δὲ κατὰ τοῦ ἐδάφους κυλιόμενοι ἄξουσι τὸ πλινθίον, ἄχρις ἂν ἤτοι ἡ ἀγκύλη ἐκπέσῃ ἀπὸ τοῦ τύλου ἢ τὸ βάρος ἐπικαθίσῃ τινί.

Unsere Vorgänger haben uns als Weg der Vor- und Rückwärtsbewegung nur den auf einer Linie überliefert, und noch dazu einen mühseligen und unsicheren. Denn selten hat einer Erfolg, der sich nach ihren schriftlieh ufgezeichneten Methoden richtet, wie denen bekannt ist, welche sie auf die Probe gestellt haben. Wir werden aber zeigen, dafs die Hin- und Rückfahrt auf einer geraden Linie sich sowohl mit leichter Mühe als mit sicheremErfolge ausführen läfst, und werden ferner die Möglichkeit darthun, dafs ein Kasten oder eine Figur sich auf einem gegebenen Kreise bewegt, ja sogar auf einem gegebenen rechtwinkligen Parallelogramme. Zunächst wollen wir di Möglichkeit der Bewegung auf einer geraden Linie erörtern. Es sei ΑΒΓΔ ein Kasten ; in diesem bringe man quer eine Achse ΕΖ an, die sich um Zapfen dreht und in Büchsen (Zapfenlagern, Pyelides) ruht, welche sich in den Wänden des Kastens befinden. Mit der Achse seien zwei gleiche Räder ΗΘ und ΚΛ verbunden, deren Peripherien (Laufflächen im Querschnitt) linsenförmig gearbeitet sind. Mitten an der Achse befinde sich eine Walze MU, welche gleichfalls mit der Achse verbunden (aus einem Stücke) ist; um diese wickelt man die Schnur. Mit der Walze sei ein Pflock Ξ fest verbunden, um den die Öse der Schnur gelegt wird. Ein anderes Rad ΟΠ befinde sich mitten an der Seite ΓΔ und drehe sich in einem Rollenkasten ΡΣΤΥ um eine sehr kleine Achse ΦΧ. Die Achsen der Räder seien so in ihi-e Lager eingepafst, dafs der Radkasten mit jedem seiner Teile wagerecht steht. Ist nun die Öse der Schnur um den Pflock Ξ gelegt, so wickle man die Schnur um die Walze. Und nachdem eine viereckige Pfeife (Syrinx, Gewichtskasten) rechtwinklig mitten auf den Radkasten gesetzt ist, leite man das eine Ende der Schnur vermittelst einer Rolle nach dem oberen Teile des Gewichtskastens und knüpfe es an ein Bleigewicht, welches sich im Innern des Gewichtskastens befindet. Wenn man nun das Gewicht in dem Gewichtskasten losläfst, dafs es niedergeht, so spannt es die Schnur. Diese wird dadurch, dafs sie sich von der Walze abwickelt, die Räder ΗΘ und ΚΛ drehen. Diese werden aber über den Boden hin rollen und den Kasten fortbewegen, bis entweder die Öse von dem Pflocke fällt oder das Gegengewicht auf irgend einen Gegenstand aufstöfst.

(6) Ἡ μὲν οὖν πορεία γίνεται τὸν εἰρημένον τρόπον, ἡ δὲ ἀποπορεία οὕτως. Ἐπειληθείσης γὰρ τῆς σπάρτου περὶ τὴν ἐξελίκτραν ἐπί τι μέρος, περιτεθεῖσα περὶ τὸν Ξ τύλον τὰ ἐναντία ἐπειλείσθω τῇ πρότερον περὶ τὴν ἐξελίκτραν. εἶτα ἀποδεδόσθω ὁμοίως εἰς τὴν λείαν κρίκου συνεχομένου αὐτῇ. πάλιν οὖν καταφερομένη ἡ λεία ἀπειλήσει τὴν πρώτην ἐπείλησιν, καὶ τὸ πλινθίον πορευθήσεται. εἶτα ἀποστᾶσα ἀπὸ τοῦ τύλου εἰς τὰ ἐναντία ἐπιστρέψει τοὺς τροχούς. καὶ οὕτως ἔσται ἡ ἀποπορεία τοῦ πλινθίου. ἐὰν δὲ βουλώμεθα πορευθὲν τὸ πλινθίον στῆναι ἐπί τινα χρόνον καὶ οὕτως τὴν ἀποπορείαν ποιήσασθαι, ἐπειλήσαντες τὴν σπάρτον καὶ περιβαλόντες περὶ τὸν τύλον οὐκ εὐθέως τὰ ἐναντία ἐπειλησόμεθα, ἀλλὰ μηρυμάτιον ποιήσαντες καὶ προσκολλήσαντες [ἐπειλήσομεν] ἐπὶ τὴν ἐξελίκτραν καὶ πάλιν τὰ ἐναντία ἐπειλήσαντες ἀποδώσομεν εἰς τὴν λείαν, καὶ ἔσται τὸ προκείμενον. ἐὰν δὲ καὶ πολλάκις βουλώμεθα πορεύεσθαί τε καὶ ἀποπορεύεσθαι τὸ πλινθίον, πλεονάκις καὶ τὰς ἐναλλὰξ ἐπειλήσεις ποιησόμεθα καὶ τὰ διαστήματα ἡλίκα ἂν προαιρώμεθα καὶ τοὺς τῶν δαιμόνων χρόνους ποιήσομεν διὰ τῶν μηρυμάτων ἡλίκους ἂν προαιρώμεθα. νοείσθω δὲ καὶ κατὰ κρόταφον τὸ πλινθίον σὺν τῇ σύριγγι ὁρώμενον, καὶ ἔστω πλινθίον μὲν τὸ ΨΩ, ἐξελίκτρα δὲ ἡ ͵ϛ, σύριγξ δὲ ἡ Τ, σπάρτος δὲ ἡ ΑΒ περὶ τρόχιλον [δὲ] περικειμένη τὸν ϙ, λεία δὲ ἡ Δ, ὁ δὲ ἐν αὐτῇ κρίκος ὁ Ε.

Die Hinfahrt wird also in der besprochenen Weise ausgeführt , die Rückfahrt aber in folgender. Nachdem nämlich die Schnur nur zu einem gewissen Teile um die Walze gewickelt ist, lege man sie um den Pflock Ξ und wickle sie in einer der früheren Umwicklung entgegengesetzten Richtung um die Walze. Sodann leite man sie ebenso nach dem Gegengewichte, indem die Verbindung mit ihm durch einen Ring hergestellt wird. Wieder wird nun das Gegengewicht, indem es niedergeht, die erste Aufwicklung abwickeln, und der Radkasten wird vorrücken. Ist dann die Schnur vom Pflocke abgesprungen, so wird sie die Räder nach der entgegengesetzten Richtung drehen. Und so wird die Rückfahrt des Kastens erfolgen. Soll der Kasten aber nach dem Vorrücken eine Zeit lang stehen bleiben und dann erst den Rückweg antreten, so wird man die Schnur, nachdem man sie aufgewickelt und um den Pflock gelegt hat, nicht sofort nach der entgegengesetzten Richtung wickeln, sondern eine lockereSchnurlage herstellen , sie auf die Walze kleben, dannwieder nach der entgegengesetzten Richtung aufwickeln und wieder nach dem Gegengewichte leiten. Dann ist die Aufgabe gelöst. Wenn der Kasten oft vorund zurückgehen soll, so lassen wir die Richtungen der Aufwicklungöfter abwechseln, machen die Abstände nach Belieben grofs und dehnen die Tänze der Gottheiten vermittelst der lockeren Schnurlagen nach Belieben aus. Man stelle sich den Radkasten mit dem Gewichtskasten auch in einer Seitenansicht vor. Es sei der Radkasten ΨΩ, die Walze ͵ϛ, der Gewichtskasten T, die Schnur ΑΒ, welche um eine Rolle ϙ läuft, das Gegengewicht Δ, der Ring daran Ε.

(12) Περὶ μὲν οὖν τῆς πορείας καὶ τῆς ἀποπορείας τοῦ πλινθίου αὐτάρκως νομίζομεν εἰρηκέναι. ἑξῆς δὲ περὶ τῶν ἐκτὸς τῆς πορείας κινήσεων ἐροῦμεν· ἔστι δὲ ἡμῖν ἡ πρώτη κίνησις περὶ τῆς τοῦ πυρὸς ἀνακαύσεως τοῦ ἐν τῷ βωμῷ.Γίνεται οὖν οὕτως· ἔστω γὰρ βωμὸς ἐκ λεπίδων χαλκῶν ἢ σιδηρῶν πεποιημένος ὁ ΑΒΓΔ, τρύπημα ἔχων ἐν μέσῳ τῷ ἐπιπύρῳ τὸ Ε. ὑπὸ δὲ τοῦτο λεπίδιον ἔστω τὸ ΖΗ παρακτὸν ὥσπερ γλωσσοκόμου πῶμα, ἐπικαλύπτον τὸ Ε τρύπημα, ἐκ δὲ τούτου ἁλυσείδιον τὸ ΗΘΚ ἀποδεδομένον περὶ ἀξόνιον ἐντὸς τοῦ βωμοῦ κείμενον καὶ εὐλύτως στρεφόμενον. †ἐν δὲ τῷ ἀξονίῳ ἀποδεδόσθω εἰς τὴν λείαν σπάρτος· αὕτη δὲ μετὰ τὴν πορείαν ταθεῖσα ὑπὸ τῆς λείας ἐπιστρέψει τὸ ἀξόνιον καὶ παραλλάξει τὸ λεπίδιον, καὶ τῆς ἀγκύλης ἐκπεσούσης ἀπὸ τοῦ τύλου τὰ ἑξῆς ἐπιτελεσθήσεται. ὑποκείσθω δὲ τῷ Ε τρυπήματι λαμπτὴρ ὁ ΜΝ τὴν φλόγα ἔχων ὑποκειμένην τῷ τρυπήματι. ἐπικείσθω δέ, ὡς προείρηται, ἐν τῷ βωμῷ ὕλη δυναμένη εὐκόπως ἀνάπτεσθαι. μᾶλλον δὲ τῶν ἄλλων ποιεῖ τὰ τεκτονικὰ ξύσματα. ὅταν οὖν πορευόμενον τὸ πλινθίον στῇ, τότε ἡ ἐκ τοῦ ΗΘΚ ἁλυσειδίου σπάρτος ταθεῖσα ἐπισπάσεται τὸ ΖΗ λεπίδιον, ὥστε ἀνοιχθῆναι τὴν ὀπὴν καὶ τὴν φλόγα ἄνω ἐνεχθεῖσαν ἀνακαῦσαι τὸν βωμόν. τὰ δ’ αὐτὰ ἐπινοείσθω καὶ ἐπὶ τοῦ ἑτέρου βωμοῦ, μόνον ὅτι τὸ τῆς σπάρτου χάλασμα μεῖζον εἶναι δεῖ τοῦ νῦν εἰρημένου, ὅπως κατὰ τὰς ἑξῆς κινήσεις ταθεῖσα ἡ σπάρτος τὴν ἑτέραν ἔξαψιν ποιήσηται.

Die Hin und Rückfahrt des Radkastens glauben wir genügend besprochen zu haben. Wir werden nun der Reihe nach die (übrigen) Bewegungen mit Ausschlufs des Fahrens (also die Bewegungen am Orte) besprechen. Die erste Bewegung aber, die wir erklären wollen, betrifft das Anzünden des Feuers auf dem Altare.Sie wird folgendermafsen ausgeführt. Es sei nämlich ΑΒΓΔ ein aus Bronze oder Eisenplatten hergestellter Altar, mit einem Loche E mitten auf der Feuerstätte. Darunter sei ein Metallplättchen ΖΗ , das sich wie ein Kastendeckel verschieben läfst und das Loch E verdeckt. Von dem Plättchen leite man ein Kettchen ΗΘΚ um eine kleine Achse, die innerhalb des Altars liegt und sich leicht dreht. Von der kleinen Achse leite man eine Schnur nach dem Gegengewicht (Antriebsgewicht). Diese Schnur wird nach dem Vorrücken (des Automaten) von dem Antriebsgewichte gespannt, dreht die kleine Achse und schiebt das Plättchen zur Seite, und sobald die Ose vom Pflocke abgesprungen ist, kommt das Weitere zur Ausführung. Unter dem Loche E stehe eine Lampe MN mit der Flamme unter der Öffnung. Wie oben bemerkt, liege auf dem Altar Material, welches leicht angezündet werden kann. Leichter als die übrigen Dinge können das die Hobelspäne. Bewegt sich der Radkasten nun vorwärts und bleibt darauf stehen, dann wird die an das Kettchen gebundene Schnur sich spannen und das Plättchen ΖΗ anziehen, so dafs die Öffnung frei wird und die Flamme nach oben schlägt und das Altarfeuer anzündet. Dasselbe Verfahren denke man sich auch bei dem anderen Altare, nur dafs die lockere Schlinge der Schnur gröfser sein mufs als die eben erwähnte, damit während der folgenden Bewegungen die Schnur sich spannt und das andere Feuer anzündet.

(13) Μετὰ δὲ τὴν θυσίαν δεῖ ἐκ μὲν τοῦ θύρσου γάλα ἀναπιτυσθῆναι, ἐκ δὲ τοῦ σκύφους οἶνον.Γίνεται οὖν καὶ τοῦτο οὕτως· ὑπὸ τοὺς πόδας τοῦ Διονύσου συμφυὴς γίνεται σωλὴν ἔχων τρυπήματα ἐν τῇ ἐπιφανείᾳ ἐγγὺς ἀλλήλων δύο, ἐκ δὲ τούτων σωληνάρια ἀνατείνοντα εἰς τὸ ἐντὸς μέρος τοῦ Διονύσου φέροντα τὸ μὲν εἰς τὸν θύρσον, τὸ δὲ εἰς τὸν σκύφον.Ἔστω δὲ ἡ μὲν βάσις τοῦ Διονύσου ἡ ΑΒ, ὁ δὲ συμφυὴς τούτῳ σωλὴν ὁ ΓΔ· τὰ δὲ ἐν αὐτῷ τρυπήματα τὰ Ε, Ζ· τὰ δὲ ἐκ τούτων ἀνατείνοντα σωληνάρια τὰ ΖΗ, ΕΘ, τὸ μὲν ΖΗ εἰς τὸν θύρσον, τὸ δὲ ΕΘ εἰς τὸν σκύφον. ἔστω δὲ καὶ ὁ ἐπικείμενος πυρὴν τῷ ναΐσκῳ ὁ ΚΛΜ. ἐντὸς δὲ τούτου ἀγγεῖον ἔστω τὸ ΝΞ μέσον διάφραγμα ἔχον τὸ Ο. καὶ ἐκ μὲν τοῦ ΝΟ ἀγγείου φερέτω σωλὴν ὁ ΠΡΣΤ εἴς τινα ἕτερον σωλῆνα τὸν ΥΦ συνεσμηρισμένον τῷ ΓΔ σωλῆνι, συμφυῆ δὲ ὄντα ἐκ τῶν ὑποκάτω μερῶν τῷ καταστρώματι, ἐφ’ ὃ ὁ ναΐσκος ἐπίκειται. τὸ δὲ Τ τρύπημα κείσθω κατὰ τὸ Ε. ἐκ δὲ τοῦ ΞΟ ἀγγείου … ἕτερος σωλὴν ὁ ΧΨΩϛ καὶ φέρων ὁμοίως εἰς τὸν ΥΦ σωλῆνα. τὸ δὲ ϛ τρύπημα κείσθω κατὰ τὸ Ζ. οὐκοῦν ἐάν τις ἐν μὲν τῷ ΟΝ ἀγγειδίῳ οἶνον ἐγχέῃ, ἐν δὲ τῷ ΞΟ γάλα, κειμένων τῶν Ε, Ζ τρυπημάτων κατὰ τὰ Τ, ϛ ἐνεχθήσεται ὁ μὲν οἶνος εἰς τὸν σκύφον, τὸ δὲ γάλα εἰς τὸν θύρσον. ἵν’ οὖν στέγῃ τὰ ὑγρὰ τὸν πρότερον χρόνον, κλεὶς ἔστω ἡ ϙ͵Τ ἀποκλείουσα, ὡς εἴρηται, τὰ ὑγρὰ δι’ ἐπιτονίου τοῦ ͵Α, περὶ ὃ ἀγκύλη σπάρτου περιβεβλήσθω χάλασμα †ἔχουσα καὶ ἀποδεδομένη εἰς τὴν λείαν, ὅπως κατὰ τὸν δέοντα καιρὸν ταθεῖσα ἐπιστρέψῃ τὸ ἐπιτόνιον καὶ ἐνεχθῇ τὰ ὑγρά. πάλιν δὲ ἐπιστραφέντος τοῦ Διονύσου καὶ τοῦ ἑτέρου βωμοῦ ἀνακαυθέντος, δεῖ πάλιν ῥεῦσαι τόν τε οἶνον καὶ τὸ γάλα· στρέφεσθαι δὲ οὕτως ἡμικυκλίου †περιφέρεια. γεγονέτω κατὰ διάμετρον τοῖς Τ, ϛ τρήμασιν ἕτερα τρήματα τὰ ͵Β, ͵Γ, καὶ ἐκ μὲν τοῦ ͵Β φερέτω σωλὴν εἰς τὸν ΡΣ ὁ ͵Β͵Δ, ἐκ δὲ τοῦ ͵Γ ἕτερος σωλὴν εἰς τὸν ΨΩ ὁ ͵Γ͵Ε. ὅταν ἄρα ἐπιστραφέντος τοῦ Διονύσου γένηται τὰ Ε, Ζ τρυπήματα κατὰ τὰ ͵Β, ͵Γ, καὶ πάλιν ἀνοιχθήσεται ἡ ϙ͵Τ κλεὶς, καὶ ῥεύσει ὁμοίως ὅ τε οἶνος καὶ τὸ γάλα. [ἀνοίγεται δὲ ἡ κλεὶς ἑτέρας σπάρτου ἐπισπασαμένης τὸ ἐπιτόνιον εἰς τὰ ἕτερα †βάρη.] δεῖ δὲ τοὺς ΡΣ, ΨΩ σωλῆνας δι’ ἑνὸς κιονίσκου τῶν ἐν τῷ ναΐσκῳ κοίλου ὄντος ἐνεχθῆναι ὑπὸ τὴν βάσιν τοῦ ναΐσκου, ὅπως ἀφανεῖς ὑπάρχωσιν. ἐπιστρέφεται δὲ ὁ Διόνυσος σὺν τῇ ἐπικειμένῃ Νίκῃ τῷ πυρῆνι οὕτως. καθείσθω ἄξων συμφυὴς ὢν τῇ Νίκῃ διὰ τοῦ πυρῆνος ὁ ͵ϛ͵Ζ εὐλύτως στρεφόμενος περὶ κνώδακα τὸν ͵Ζ, καὶ περὶ αὐτὸν περιειληθεῖσα σπάρτος διὰ τροχίλου τοῦ ͵Η ἀποδεδόσθω εἰς τὴν βάσιν τοῦ ναΐσκου καὶ διὰ τροχίλου τοῦ ͵Θ εἰς τὸ ὑπερέχον τοῦ ΓΔ σωλῆνος. οὐκοῦν ἐὰν ἐπιστρέφῃ τις τὸν ΓΔ σωλῆνα, ἀπειλήσει τὴν περὶ τὸν ͵ϛ͵Ζ ἄξονα σπάρτον καὶ ἅμα ἐπιστρέψει τὴν Νίκην καὶ τὸν Διόνυσον· ἐπὶ τὰ αὐτὰ δὲ ἔστω μέρη ἡ ἐπιστροφὴ αὐτῶν· καὶ ἴσος δὲ ἔστω κατὰ τὸ πάχος ὁ ͵ϛ͵Ζ ἄξων τῷ ΓΔ σωλῆνι, ὅπως ἅμα ἀποκατασταθῶσιν ἥ τε Νίκη καὶ ὁ Διόνυσος μηδὲν παραλλάσσοντες κατὰ τὴν θέσιν. ἵνα γοῦν αὐτόματον τοῦτο γίνηται, ἐπειλήσθω ἑτέρα ἅλυσις περὶ τὴν ὑπεροχὴν τοῦ ΓΔ σωλῆνος καὶ διὰ τροχίλου τοῦ ΜΑ εἰς βάρος ἀποδεδόσθω τὸ ΜΒ. ὁ δὲ συγκεκοινωμένος τῷ βάρει κρίκος χειρὶ κατεχέτω καὶ σχαστηρίᾳ, καθάπερ ἐπὶ τῶν καταπελτῶν γίνεται, ὅπως τῆς σχαστηρίας ἀπολυθείσης ἀπό τινος σπάρτου τὸ βάρος κατενεχθὲν ἐπιστρέψῃ τόν τε Διόνυσον καὶ τὴν Νίκην. καὶ ἡ ͵Η͵Θ δὲ σπάρτος δι’ ἑτέρου κιονίσκου κρυπτέσθω, καθάπερ καὶ ἐπὶ τῶν σωλήνων εἴρηται.

Nach dem Opfer soll aus dem Thyrsus Milch aufspritzen, aus dem Becher Wein.Die Ausführung ist folgende. Unter Bacchus’ Füfse wird ein mit ihm in Verbindung stehendes Rohr gesetzt, das auf der Oberfläche mit zwei nahe bei einander liegenden Löchern versehen ist. Von diesen steigen kleine Röhren ins Innere des Bacchus empor, eine führt nach dem Thyrsus, die andere nach dem Becher.Die Basis des Bacchus sei AB, der mit ihm verbundene Cylinder (Rohr) ΓΔ, die Löcher darin Ε und Z, die von da aufsteigenden Röhren ΖΗ und ΕΘ, von denen ΖΗ in den Thyrsus, ΕΘ in den Becher führt. Ferner sei ΚΛΜ, das auf das Tempelchen gehetzte Dach; innerhalb desselben stehe ein Gefäfs ΝΞ mit einer Scheidewand O in der Mitte. Aus der Gefäfskammer ΝΟ führe eine Röhre ΠΡΣΤ in einen anderen Cylinder (Rohr) ΥΦ, welcher mit dem Cylinder ΓΔ verpafst und von unten mit der Uberdeckung verbunden ist, auf welche der Tempel gestellt ist. Die Öffnung T liege E gegenüber. Aus der Gefäfskammer ΞΟ führe eine andere Röhre ΧΨΩϛ in gleicherweise nach dem Cylinder ΥΦ . Die Öffnung ϛ liege Z gegenüber. Giefst man nun in die kleine Kammer ΟΝ Wein, in ΞΟ Milch,so wird der Wein in den Becher, die Milch in den Thyrsus fliefsen, wenn die Löcher E , Z den Öffnungen T, ϛ gegenüber liegen. Um nun nicht gleich im ersten Augenblicke die Flüssigkeiten auslaufen zu lassen, werde ein Verschlufs gt eingerichtet, welcher, wie gesagt, die Flüssigkeiten vermittelst eines Hahnes ͵Α abschliefst. Um diesen lege man eine Öse einer mit einer lockeren Lage versehenen und nach dem Gegengewichte geleiteten Schnur, damit sie, im rechten Augenblicke gespannt, den Hahn umdreht und damit die Flüssigkeit (weiter) fliefsen kann. Wenn dagegen Bacchus sich umgewendet hat und auf dem anderen Altare das Feuer angezündet ist, so mufs wiederum der Wein und die Milch fliefsen. Des Bacchus Drehung macht so einen Halbkreis aus. Man bohre diametral entgegengesetzt den Löchern T, S andere Löcher ͵B , ͵Γ ; und von ͵B führe eine Röhre ͵Β͵Δ nach ΡΣ , von G’ eine andere ͵Γ͵Ε nach ΨΩ. Wenn also nach der Drehung des Bacchus die Löcher E, Z gegenüber ͵B͵Γ liegen, so öfihet man den Verschlufs ϙ͵Τ wieder, und Wein und Milch fliefsen in gleicher Weise. [Der Verschlufs wird dadurch geöfinet, dafs eine zweite Schnur den Hahn nach der anderen Seite dreht.] Die Röhren ΡΣ, ΨΩ müssen dui’ch eine kleine, hohle Säule am Tempel unter dessen Basis führen, damit sie nicht sichtbar sind. Bacchus dreht sich aber zugleich mit der auf dem Tempeldache stehenden Nike auf folgende Weise. Man lasse durch das Dach eine mit der Nike verbundene Achse ͵ϛ͵Ζ hinab, die sich leicht um einen Zapfen ͵Ζ, dreht, und man leite eiae um sie gewickelte Schnur vermittelst einer Rolle ͵Η nach der Basis des Tempelchens und mittels einer Rolle ͵Θ nach dem überstehenden Ende des Cylinders ΓΔ. Wenn man nun den Cylinder ΓΔ dreht, wird man die um die Achse ͵ϛ͵Ζ, laufende Schnur abwickeln und zugleich Nike und Bacchus drehen. Deren Drehung erfolge aber nach derselben Richtung. An Umfang sei die Achse ͵ϛ͵Ζ, (bez. ihre Welle) dem Cylinder ΓΔ gleich, damit Nike und Bacchus zu gleicher Zeit unverändert in ihre frühere Stellung zurückkehren. Um diese Bewegung automatisch zu machen, wickle man eine andere Kette um den hervorstehenden Teil des Cylinders ΓΔ und leite sie über eine Rolle MA nach einem Gewichte MB. Der an dem Gewichte befestigte Ring halte dieses mit Hilfe einer Hand (Cheir, zweier handartig gebogenen Stifte) und eines Abzuges (Schasteria), wie er bei den Katapulten verwendet wird, (oben) zurück, damit das Gewicht (erst) niedersinkt und Bacchus und Nike umdreht, sobald der Abzug von einer Schnur losgemacht (zurückgezogen) ist. Auch die Schnur ͵Η͵Θ leite man versteckt durch eine andere kleine Säule, wie es schon bei den Röhren angegeben wurde.

(14) Μετὰ δὲ τὸ σπεῖσαι πρώτως τὸν Διόνυσον δεήσει κυμβάλων καὶ τυμπάνων κτύπον γενέσθαι.Γίνεται δὲ καὶ τοῦτο οὕτως· ἐν τῇ κάτω βάσει, ἐν ᾗ εἰσι καὶ οἱ τροχοί, ἀγγεῖον τίθεται ἔχον σφαιρία μολιβᾶ συρρέοντα εἰς τὸν πυθμένα. ἐν δὲ τῷ πυθμένι τρῆμα γίνεται εὐλύτως δυνάμενον δέξασθαι τὰ σφαιρία, κλειθρίον ἔχον ἀνοιγόμενον ὑπὸ τῆς σπάρτου, ὅταν δέῃ. ὑπόκειται δὲ τῷ τρήματι τυμπάνιον ἐπικεκλιμένον· καὶ τούτῳ ἐξήφθω κυμβάλιον. ἐκπίπτοντα οὖν τὰ σφαιρία κρούσει πρῶτον τὸ τυμπάνιον καὶ ἐκ τούτου ἀποπίπτοντα εἰς τὸ κυμβάλιον τὸν ἦχον ἀποτελέσει. δύναται δὲ μέσον διάφραγμα λαβὸν τὸ ἀγγεῖον δύο χώρας ποιῆσαι, ὥστε ἐν ἑκατέρᾳ εἶναι σφαιρία <καὶ> τὰ μὲν ἐν τῇ μιᾷ χώρᾳ τὸν πρῶτον ἦχον ἀποτελεῖν, τὰ δὲ ἐν τῇ ἑτέρᾳ τὸν ἑξῆς, κλειθρίου ὁμοίως ἀνοιχθέντος.

Nach der ersten Spenda des Bacchus soll Cymbelnschlag und Trommelklang erschallen. Dies macht man folgendermafsen. In dem unteren Räume des Sockels, in welchem auch die Räder sind, wird ein Gefäfs mit kleinen, nach dem Boden hin zusammenrollenden Bleikugeln aufgestellt. In den Boden wird ein Loch gebohrt, welches die Kugeln leicht aufzunehmen vermag, und mit einem kleinen Schieber (Verschlufs) versehen, der von der Schnur im richtigen Augenblicke geöffnet wird. Unter dem Loche steht eine kleine Trommel angelehnt, und daran sei ein kleines Becken befestigt. Fallen nun die Kugeln heraus, so schlagen sie zuerst auf die kleine Pauke und rufen, indem sie von dieser auf das Becken springen, den Schall hervor. Wenn das Gefäfs in der Mitte eine Scheidewand bekommt, kann es zwei Kammern bilden, so dafs in jeder Kugeln sind und die in der einen den ersten Schall hervorbringen, die in der andern den nächsten, nachdem in ähnlicher Weise ein Schieber geöffnet ist.

(15) Ἑξῆς δὲ δεῖ τὸ περιστύλιον στεφανωθῆναι τὸ ἐν τῇ βάσει. Γίνεται δὲ οὕτως· νοείσθω τὸ θωράκιον τὸ ἐπικείμενον ἐν τῷ τετραστύλῳ τὸ ΑΒΓΔ ἔχον ἐντὸς ἕτερον θωράκιον τὸ ΕΖΗΘ, ὥστε τὴν μεταξὺ τῶν δύο χώραν θωρακίων κενὴν ἐκ τοῦ κάτω μέρους ὑπάρχειν. γενηθὲν δὲ πλέγμα ἐκ στεφάνων †τετραγώνων πλοκῇ οἵᾳ ἐάν τις βούληται καὶ πρὸς τὴν ὄψιν εὐαρμόστως καὶ τοῦτο πτυγὲν ἐγκρύπτεται εἰς τὸν εἰρημένον μεταξὺ τῶν θωρακίων τόπον τὰς ἄνω ἀρχὰς ἐξημμένας ἔχον ἐκ τοῦ θωρακίου. καὶ ἵνα μὴ αὐτόματον καταφέρηται, σανίδιον ἐπίμηκες ἁρμόζον τῷ μεταξὺ τῶν θωρακίων τόπῳ καθ’ ἑκάστην πλευρὰν τοῦ θωρακίου γίνεται, ὥστε ἐπιπωμάσαι τὸ πλέγμα καὶ συσχεῖν εἰς τὸ ἄνω μέρος. ἵνα δὲ μὴ αὐτόματα τὰ σανίδια ἀποπίπτῃ, ἐκ τῆς μιᾶς πλευρᾶς τῆς εἰς τὸ ἐντὸς τοῦ θωρακίου μέρος στροφωμάτια εὔλυτα λαμβάνει, ἵνα ὅταν ἐπιπωμασθῇ, ἐκ τοῦ ἑτέρου μέρους ἐπιστρεπτῷ κόρακι κατέχηται, ὥστε μὴ ἀνοίγεσθαι. ἐκ δὲ τοῦ ἑτέρου μέρους τοῦ κόρακος ἀγκύλη σπάρτου περιτίθεται, ἥτις ταθείσης τῆς σπάρτου καὶ τοῦ κόρακος ἐπιστραφέντος ἀποπίπτει. καὶ οὕτως τὸ πλέγμα καθίεται. ἕξει δὲ τὸ πλέγμα εἰς τὰ κάτω μέρη βαρύλλια μολιβᾶ ἐκδεδεμένα πρὸς τὸ ταχέως καταφέρεσθαι.

Nun muss das Peristyl (d. h. die Pilaster) an dem Unterbau bekränzt werden. Das macht man so. Man stelle sich vor, dafs der äufseren Brüstung (Rahmen) ΑΒΓΔ auf dem viersäuligen Unterbau innen ein anderer Rahmen ΕΖΗΘ entspreche, so dafs der Raum zwischen den beiden Rahmen nach unten leer ist. Es wird aber eine rechteckige Guirlande (Geflecht aus Kränzen), in beliebiger, aber dem Auge gefälliger Form geflochten; und zwar wird diese zusammengefaltet und in dem genannten Räume zwischen den beiden Rahmen versteckt gehalten, indem ihre oberen Enden an den Rahmen gebunden sind. Damit sie nicht von selbst herunterfällt, wird ein kleines, längliches Brett, das in den Zwischenraum zwischen den Rahmen pafst, auf jeder Seite des Rahmens angebracht, um die Guirlande zu verdecken und nach oben zusammenzuhalten. Damit die Breiter nicht von selbst herunterfallen, erhalten sie auf der einen Seite im Innern des Rahmens leicht drehbare Scharniere, damit sie, wenn sie zugeklappt sind, auf der anderen Seite durch einen drehbaren Winkel (Korax, Haken) festgehalten werden, so dafs sich nicht (von selbst) öfEnen können. Auf der anderen Seite des Winkels legt man die Ose einer Schnur herum, welche abfällt, sobald die Schnur gespannt und der Winkel gedreht ist. Und so wird die Guirlande heruntergelassen. Unten werden an die Guirlande kleine Bleikugeln gebunden, damit sie schnell herunterfällt.

(16) Τὸ λοιπὸν δὲ δὴ καταλείπεται ὑποδεῖξαι, πῶς αἱ Βάκχαι χορεύουσι κατὰ τὸν δέοντα καιρόν.Γίνεται οὖν καὶ τοῦτο οὕτως· ὁ ναΐσκος ὁ στρογγύλος, ἐν ᾧ ἐστιν ὁ Διόνυσος, στυλοβάτην ἐχέτω στρογγύλον καὶ λεῖον κατὰ τὸ ὕψος. ἔστω οὖν οὗτος ὁ ΑΒΓΔ· περὶ δὲ τοῦτον περικείσθω ἴτυς ἡ ΕΖΗΘΚΛΜΝ ἁρμοστὴ τῷ στυλοβάτῃ, ὥστε εὐλύτως περὶ αὐτὸν στρέφεσθαι. περὶ δὲ τὸν κρόταφον τῆς ΚΛΜΝ περιφερείας ἐντετορνεύσθω σωλήν, ἐν ᾧ σπάρτος ἐπειληθεῖσα ἐγκεκοιμίσθω [εἰς τὸ βάθος τοῦ σωλῆνος], ἧς ἡ μὲν μία ἀρχὴ κεκρούσθω δι’ ἐπιούρου εἰς τὸ βάθος τοῦ σωλῆνος, ὥστε μηκέτι ἐκσπᾶσθαι· ἡ δὲ ἑτέρα διὰ τροχίλου ἀποδεδόσθω εἰς τὸ κάτω μέρος τοῦ θωρακίου καὶ ἐπειλήσθω εἰς ἕτερον σωλῆνα ἐνόντα ἐν τῷ τυμπάνῳ, ᾧ συμφυὴς ἔστω ἄξων εὐλύτως στρεφόμενος. τῷ δὲ ἄξονι περιειλήσθω ἑτέρα σπάρτος καὶ ἀποδεδόσθω εἰς τὴν λείαν. συμβήσεται οὖν ταθείσης τῆς περὶ τὸν ἄξονα σπάρτου ἐπειλεῖσθαι ἐπὶ τὸ συμφυὲς αὐτῷ τύμπανον τὴν ἐκ τῆς ἴτυος σπάρτον καὶ οὕτως χορεύειν τὰς Βάκχας. ἐπεὶ οὖν δὶς αὐτὰς δεῖ χορεῦσαι, ἔχει χάλασμα διαμεμηρυμένον ἡ περὶ τὸν ἄξονα σπάρτος, ὅπως στάσις γένηται τῶν Βακχῶν διὰ τοῦ χαλάσματος. ταθείσης δὲ αὐτῆς πάλιν χορεύσουσιν· ἐπικείσονται γὰρ τῇ εἰρημένῃ ἴτυι αἱ Βάκχαι.

Es bleibt nun noch das Übrige zu zeigen, nämlich wie es kommt, dais die Bacchantinnen zu rechter Zeit tanzen.Dies wird folgendermafsen ausgeführt. Das runde Tempelchen, in dem Bacchus steht, sei mit einem runden und am Rande glatten Säulenstand (Stylobatstufe) versehen; das sei ΑΒΓΔ. Um diesen liege ein Ring ΕΖΗΘΚΛΜΝ, welcher zu der Stufe pafst, so dafs er sich leicht um ihn dreht. Rings in den äufseren Rand ΚΛΜΝ drechsle man eine Rille, auf welche eine Schnur gewickelt werde. Diese bette man in die Tiefe der Rille. Das eine Ende der Schnur stofse man mit Hilfe eines Nagels tief in die Rille, so dafs sie nicht wieder herausgezogen werden kann. Das andere Ende leite man mittels einer Rolle (innen) nach dem unteren Teile der Brüstung und wickle es in eine andere Rille, die sich in einer Welle befindet, mit welcher eine leicht drehbare Achse verbunden sei. Um die Achse sei eine andere Schnur geschlungen und (von da) nach dem Gegengewichte geleitet. Ist nun die um die Achse laufende Schnur gespannt, so wird die Folge sein, dafs die Schnur von dem Ringe sich (mittels der Rolle) auf die mit der Achse verbundene Welle wickelt und dafs so die Bacchantinnen tanzen. Da sie nun zweimal tanzen müssen, so ist die um die Achse geschlungene Schnur mit einer quergezogenen, lockeren Schlinge versehen, um die Bacchantinnen mittels des lockeren Teiles der Schnur zum Stehen zu bringen; ist die Schnur aber gespannt, werden sie wieder tanzen. Die Bacchantinnen sollen nämlich auf dem genannten Ringe stehen.

(17) Ὅσαι δὲ σπάρτοι ἐκ τῆς κάτω βάσεως εἰς τὴν λείαν ἀποδίδονται, δεῖ ταύτας ἀφανεῖς ὑπάρχειν.Γίνεται οὖν καὶ τοῦτο οὕτως· ἔστω γὰρ τὸ στόμα τῆς σύριγγος, ἐν ᾗ ἐστιν ἡ λεία, τὸ ΑΒΓΔ, καὶ καθείσθω διὰ τοῦ ἐν τῇ σύριγγι στόματος διάφραγμα κατὰ τὴν ΕΖ εὐθεῖαν ἀπολαμβάνον τὸ ΔΕ διάστημαὅτι στενότατον. ἡ μὲν οὖν κέγχρος ἐμβληθήσεται εἰς τὴν ΕΒ χώραν, αἱ δὲ σπάρτοι ἐκ τοῦ κάτωθεν μέρους ἀνενεχθήσονται εἰς τὴν ΓΔΕΖ χώραν καὶ ἀποδοθήσονται εἰς τὴν λείαν τὴν ἐν τῇ ΑΒΖΕ χώρᾳ διὰ τροχίλου· οὕτως γὰρ ἀφανεῖς ἔσονται πᾶσαι αἱ κάτωθεν ἀναφερόμεναι σπάρτοι. ἐπεὶ οὖν πολλῶν κινήσεων γινομένων καὶ τῆς τοῦ πλινθίου πορείας πολλῆς ὑπαρχούσης ἀνάγκη [μὴ] ἐξαρκεῖν τὸ τῆς σύριγγος ὕψος, δεῖ καὶ τοῦτο μηχανήσασθαι. πρὸς μὲν οὖν τὸ μῆκος τῆς πορείας δύνανται οἱ περὶ τὸν ἄξονα δύο τροχοὶ αὐξανόμενοι πολὺ μῆκος παρέχειν ἢ τὸ τοῦ ἄξονος πάχος ἔλασσον γινόμενον· ἅπαξ γὰρ τοῦ ἄξονος στραφέντος κινηθήσεται τὸ πλινθίον τηλικαύτην ὁδὸν ἡλίκη ἐστὶν ἡ τοῦ ἑνὸς τροχοῦ περιφέρεια. διὸ εὐλόγως μείζονας αὐτοὺς δεῖ πειρᾶσθαι ποιεῖν.

Alle Schnüre aber, die aus dem unteren Räume des Sockels nach dem Gegengewichte geleitet werden, müssen unsichtbar sein.Das erreicht man auf folgende Weise. Es sei nämlich die Öffnung des Kastens, in welchem sich das Gegengewichtbefindet, ΑΒΓΔ. Durch seine Mündung lasse man eine Scheidewand in der Richtung der geraden Linie ΕΖ mit möglichst engem Abstände ΔΕ hinab. Die Hirse wird nun in den Raum EB geschüttet, die Schnüre aber werden von unten nach dem Räume ΓΔΕΖ geführt und mittels einer Rolle nach dem Gegengewichte in dem Räume ΑΒΖΕ geleitet. So werden nämlich alle Schnüre, die von unten nach oben gehen, unsichtbar sein. Trotzdem nun viele Bewegungen auszuführen sind und die Fahrt des Radkastens lang ist, mufs doch die (geringe) Höhe des Gewichtslkastens ausreichen. Daher ist noch folgende Hilfsvoriichtung zu machen. Was die Länge der Fahrt (Strecke) betrifft, so kann die Vergröfserung der beiden Räder an der Achse oder die Verkleinerung des Achsenumfanges eine recht lange Fahrt herbeiführen. Bei einer einzigen Achsenumdrehung wird nämlich der Radkasten einen so grofsen Weg zurücklegen, als die Peripherie des einzelnen Rades ausmacht. Deshalb mufs man verständigerdie Räder gröfser zu machen suchen.

Mosaïque représentant Bacchus et une bacchante, Maison de Dionysos, Paphos, Chypre (Cliché S. Madeleine).Mosaïque représentant Bacchus et une bacchante, Maison de Dionysos, Paphos, Chypre (Cliché S. Madeleine).
Bacchus sur un guépard, mosaique dans la « Maison de Dionysos » (2,70m x 2,65m), 330-300 avant J.-C., Pella, Grèce (cliché S. Madeleine).Bacchus sur un guépard, mosaique dans la « Maison de Dionysos » (2,70m x 2,65m), 330-300 avant J.-C., Pella, Grèce (cliché S. Madeleine).
Bacchus tenant d’une main le thyrse et tendant de l’autre un canthare, Bas-relief d’Herculanum, Musée de Naples, Italie (cliché Sailko - 2013).Bacchus tenant d’une main le thyrse et tendant de l’autre un canthare, Bas-relief d’Herculanum, Musée de Naples, Italie (cliché Sailko - 2013).
Restitution virtuelle de Bacchus et sa panthère (Réalisation J. Nicolle).Restitution virtuelle de Bacchus et sa panthère (Réalisation J. Nicolle).
Modélisation d’une bacchante (Réalisation J. Nicolle).Modélisation d’une bacchante (Réalisation J. Nicolle).
Restitution virtuelle d’une Victoire (Réalisation C Morineau).Restitution virtuelle d’une Victoire (Réalisation C Morineau).
Restitution virtuelle du théâtre automatique à base mobile d’Héron d’Alexandrie (Réalisation J. Nicolle).Restitution virtuelle du théâtre automatique à base mobile d’Héron d’Alexandrie (Réalisation J. Nicolle).
Vue générale du mécanisme interne du théâtre automatique à base mobile d’Héron d’Alexandrie (Réalisation J. Nicolle).Vue générale du mécanisme interne du théâtre automatique à base mobile d’Héron d’Alexandrie (Réalisation J. Nicolle).
Mise en scène de l’apothéose de Bacchus. Zoom sur la tholos du théâtre automatique (Réalisation J. Nicolle).Mise en scène de l’apothéose de Bacchus. Zoom sur la tholos du théâtre automatique (Réalisation J. Nicolle).
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